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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 22:53

 

"Il y a aujourd'hui trois cent quarante-huit ans six mois et dix-neuf jours que les parisiens s'éveillèrent au bruit de toutes les cloches sonnant à grande volée dans la triple enceinte de la Cité, de l'Université et de la Ville."

 

1) Quels sont  l'auteur et le titre du roman dont cette phrase est l'incipit ?

 

2) Quels sont l'infinitif, le temps et le mode du verbe conjugué "sonnant" ?

 

3) Pourquoi " cent" ne prend-il pas de "s"? Rappelez la règle complète.

 

4) Indiquer le sens propre et le sens figuré de l'expression  "sonner les cloches".  Dans cette phrase, l'expression  est-elle prise au sens propre ou au sens figuré?

 

 

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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 18:01

Bravo à Camille (6ème A).

 

"En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C'était un vieillard d'environ soixante-quinze ans; il accupait le siège de Digne depuis 1806." 

 

Il s'agit effectivement de l'incipit du roman de Victor Hugo, Les Misérables, écrit en 1862.

 

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 10:27

Quel est le titre et le nom de l'auteur du roman dont voici l'incipit ?

 

"En 1815, M. Charles-François-Bienvenu Myriel était évêque de Digne. C'était un vieillard d'environ soixante-quinze ans; il accupait le siège de Digne depuis 1806."

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20 mai 2010 4 20 /05 /mai /2010 00:39

Bravo à Clément (3ème B).

 

Est-il possible de parler avec un boeuf sur la langue?

 

"Avoir un boeuf sur la langue", c'est donc se taire, garder volontairement  un silence obstiné.

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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 15:35

Quel est le sens de l'expression "avoir un boeuf sur la langue" ?

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19 mai 2010 3 19 /05 /mai /2010 15:34

Bravo à Matilde (3ème B) qui a trouvé la première l'orthographe exacte.

 

L'orthographe correcte est "embonpoint".

 

En effet, le son "en" s'écrit em devant les consonnes b, p et m, sans aucune exception.

Par contre, le son "on" s'écrit om lorsqu'il est suivi des consonnes p ou b, à l'exception des mots bonbon, bonbonne, bonbonnière et embonpoint.

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 20:01

Quelle est l'orthographe correcte : embompoint, embonpoint, enbompoint ou enbonpoint ?

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 10:22

Bravo à Camille (6ème A).

 

Que tu crûsses : il s'agit du verbe croître, à l'imparfait du subjonctif.

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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 18:09

C'est à nouveau Camille (6ème A) qui remporte cette énigme.

 

Il s'agissait effectivement de Molière, dit Jean-Baptiste Poquelin, dramaturge français du XVIIème siècle.

Fils d’un tapissier, Molière fait ses études chez les jésuites avant d’aller étudier le droit. Mais il se détourne vite de cette carrière.
Il crée alors l’Illustre-Théâtre qui est un échec en raison de dettes; en août 1645, Molière est même emprisonné. Il quitte ensuite Paris pour la province. Il y restera treize ans.
En 1658, il revient à Paris pour jouer Nicomède et Le Dépit amoureux devant le roi. C’est la pièce Les Précieuses ridicules (1659) qui lui apporte la célébrité. Molière obtient du roi la salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal (à partir de 1660) où il remporte de nombreux succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe.
Tartuffe, jouée pour la première fois en 1664 à Versailles, pièce dans laquelle il critique l’hypocrisie des faux dévots, fait scandale. La pièce est interdite par le roi sous la pression des dévots qui se sentent visés. En 1665, Dom Juan suscite également des remous. Malgré son succès, la pièce est retirée.
Molière continue cependant de bénéficier de la faveur du roi. Viennent les pièces Le Misanthrope (1666), George Dandin (1668), Le Bourgeois Gentilhomme (1670), L’Avare (1668), Les Fourberies de Scapin (1671), Les Femmes savantes (1672), etc.
Épuisé par le travail et la maladie, Molière meurt le 17 février 1673 après la quatrième représentation du Malade imaginaire, pièce dans laquelle il jouait le rôle d’Argan.

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17 mai 2010 1 17 /05 /mai /2010 10:17

Quels sont l'infinitif, le temps et le mode du verbe conjugué suivant ?

 

                         que tu crûsses

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